Nouvelle étude : les JO présentent des budgets équilibrés ou génèrent des surplus


Le plan pour Calgary 2026 conçu de manière responsable

CALGARY, Alberta, 29 oct. 2018 (GLOBE NEWSWIRE) -- Aujourd’hui, la Société de la candidature de Calgary 2026 publie une analyse faite d’un récent rapport portant sur les dépassements des coûts et les revenus excédentaires des Jeux olympiques de 2000-2018. Le rapport a révélé que pour tous les Jeux ayant eu lieu durant cette période, les comités organisateurs des Jeux olympiques ont présenté un budget équilibré ou excédentaire en réalisant des recettes plus élevées que prévu. Le sommaire du rapport est disponible ici.

Le rapport se concentre sur les coûts et les revenus de base des JO dans deux domaines clés :

  • dépenses et revenus des comités organisateurs (coordination de l’évènement);
  • les investissements publics pour les sites olympiques essentiels à la tenue des Jeux.

La recherche et la rédaction de cette étude ont été effectuées par trois universitaires, soit un professeur et une doctorante de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence (JGU), l’une des cinq meilleures universités allemandes, et un professeur de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, fondée sur une histoire qui remonte au XIIIe siècle. Il s’agit d’un rapport de tiers indépendants.

Le rapport exclut intentionnellement les infrastructures de grande envergure qui ne sont pas nécessaires à la tenue des Jeux. Ces projets, tels que les routes, les trains et les installations publiques, sont souvent des compléments à la tenue des Jeux, sont accélérés pour que la fin des travaux coïncide avec les Jeux et font parfois partie des legs des Jeux. Toutefois, ils ne sont pas obligatoires pour accueillir les Jeux et ne sont donc pas considérés comme des coûts liés aux Jeux.

De plus, selon l’étude, entre 2000 et 2018, tous les comités organisateurs, à l’exception de Sochi 2014
et de Rio 2016, ont réalisé un surplus. Par exemple, Pyeongchang 2018 a réalisé un surplus s’élevant à 55 millions $ US alors que les revenus budgétaires de Sydney 2000 ont dépassé les prévisions de 72 % (le pourcentage le plus élevé pour des Jeux olympiques d’été) et ceux de Salt Lake City 2002 de 119 % (le pourcentage le plus élevé pour des Jeux olympiques d’hiver).

Malgré que certains comités organisateurs ont dépassé leurs budgets en raison d’un changement de portée, de certaines contraintes de temps ou d’une mise en chantier tardive, les budgets ont été équilibrés ou ont même généré un surplus en raison de l’augmentation des revenus. Il est indiqué dans l’étude que les Jeux olympiques de 2010 à Vancouver auraient atteint le seuil de rentabilité malgré la crise économique de 2008 qui avait alors causé une diminution importante des revenus de commandites et obligé le comité organisateur à réduire ses coûts de fonctionnement. Le programme de construction des sites pour Vancouver 2010, dont le budget s’élevait à 580 millions de dollars, a été réalisé selon le calendrier et le budget prévus.

« Ce rapport montre clairement que, par le passé, les comités organisateur des Jeux olympiques présentaient des budgets équilibrés ou excédentaires grâce à une bonne planification et à une gestion financière rigoureuse, a déclaré Scott Hutcheson, président de la Société de la candidature de Calgary 2026. Tous les Jeux olympiques d’hiver mentionnés dans cette étude avaient un budget équilibré et Vancouver 2010, qui prenaient modèle sur les Jeux olympiques de 1988 à Calgary, démontrent qu’au Canada, nous savons bien organiser les Jeux olympiques et nous le ferons encore
en 2026. »

Mary Moran, directrice générale de la Société de la candidature de Calgary 2026, a ajouté que le plan d’accueil de Calgary 2026 était conçu de manière responsable, ayant fait l’objet de recherches approfondies et d’un examen indépendant.

« La plupart des sites pour Calgary 2026 existent déjà. Ils ont tout simplement besoin d’être modernisés, ce qui réduira nos coûts, a déclaré Mary Moran. Puis, par mesure de prudence, nous avons établi un fonds de prévoyance d’un milliard de dollars pour les coûts inattendus alors que les revenus de sources privées ont été estimés de façon prudente à 2,23 milliards de dollars. Ce rapport, à la fois dans ses recherches et dans ses recommandations, montre que le plan des Jeux olympiques de 2026 à Calgary est financièrement viable et que notre approche est responsable. »

L’étude se termine par une liste de recommandations pour aider à réduire davantage les dépassements de coûts potentiels et à maximiser les revenus des futurs Jeux olympiques, la plupart étant destinées au Comité international Olympique afin de l’appuyer dans son travail avec les comités organisateurs des Jeux olympiques.

Pour plus de renseignements, veuillez communiquer avec : 

James Millar
Directeur, communications et relations avec les médias
Société de la candidature de Calgary 2026
403 891-2026
jmillar@calgary2026.ca

À PROPOS DE CALGARY 2026 : La Société de la candidature de Calgary 2026 a pour mandat d’appuyer et de promouvoir le développement du sport et du sport amateur au Canada en proposant et en promouvant la candidature de Calgary, de Canmore et d’autres villes, au besoin, pour accueillir les Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2026. Elle est plus particulièrement responsable d’élaborer et de coordonner un dossier de candidature de qualité et de le présenter au Comité international olympique afin qu’il désigne Calgary comme ville hôte des JO 2026.

Une version en PDF est disponible à : http://resource.globenewswire.com/Resource/Download/ac25d991-4b1c-4a36-bedf-394f0e41eb47


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